Le chant des vipères

Quand le méchant règne, le peuple est dans une grande consternation, car il réduit en esclavage, à la torture, à la souffrance. Il y a parfois, des formes de méchanceté qui vous rendent perplexe. Elle est abjecte, violente et se transforme en une animosité sans nom. Il en a plus subtiles, très silencieuses, très ingrates dont les coups ne sont pas physiques qui vous rongent le sommeil, l’appétit; qui vous font verser des larmes à chaque souvenir, comme dans ce conte. Celui ou celle qui incarne ce rôle se voit ou se croit le Dieu tout puissant immortel. Mais la fin est toujours tragique. Puisque les douleurs et les plaintes qui s’élèvent vers le trône céleste remplissent la coupe. Ces plaintes se déversent en coupe d’étourdissement pour le méchant. Encore un récit fabuleux pour tous les lecteurs : A feuilleter ces textes, il y a surement un autre profit encore à tirer. On s’avise alors que nous avons beaucoup trop oublié que ce sont des livres d’images : l’image sollicite continuellement les yeux des adultes et ceux des enfants.