Décision muette

Après un arrêt d’écriture qui m’a éloignée de l’édition et de l’écriture, j’ai continué à respirer les lettres et les mots. Je vis par eux et pour eux. Mais une certaine illusion n’a pas cessé de m’harceler et de me blâmer. C’est que la réalité, autour de moi, est pleine d’événements et de tragédies qui estropient l’existence de manières-même si c’est différentes-, elles affluents tous vers la case de la souffrances de l’être humain de part celui qui prétend être un humain et l’enseignante éducatrice aspire à répandre la prise de conscience et à réparer ce qui a était dans les relations verticales où la primauté est au masculin par rapport à la fille. Dans «Honneur» et «La vielle Salma» et même l’handicapée dans «Décision muette», ce sont tous des problèmes qui ont lieu avec une atrocité plus violente et plus dure que ce que transmettent mes nouvelles. Dans des sociétés qui sont toujours sous le joug de l’ignorance, des coutumes et d’us calcifiés. Ces situations m’ont poussée, de nouveau, à l’avant-garde et ma plume s’est mise alors à déterrer et à gratter les douleurs et les souffrances.